LOUISE ROBERT

EN PRATIQUE, TON MÉTIER C'EST QUOI ?

Je coordonne les actions menées par le Laboratoire d'usages culture(s)-arts-société (LUCAS), qui font suite à la publication du rapport LUCAS : "De la coopération culturelle à la culture de la coopération". 
Créé à l'initiative de la Fédération Arts Vivants et Départements, le LUCAS accompagne les territoires et stimule leurs capacités à collaborer dans le domaine de la culture, pour des politiques et des actions culturelles plus coopératives, en prise avec les transitions et respectueuses des droits culturels.

COMMENT EN ES-TU ARRIVÉ LÀ ?

Après un master 2 Direction de projets culturels à l'Institut d'études politiques de Grenoble, je quitte les montagnes pour mettre les voiles sur Montpellier. Je passe d'abord par une association européenne, avant d'expérimenter un poste de chargée de projets culturels au sein du service art & culture de l'université de Montpellier et, finalement, d'embarquer dans l'aventure de la Fédération Arts Vivants et Départements (FAVD) depuis mai 2022.

C'EST QUOI TES SATISFACTIONS DANS TON TRAVAIL ?

La stimulation intellectuelle, le fait d'être sur les différents terrains, la diversité des interlocuteurs et des partenaires, et bien sûr la très chouette ambiance au sein de l'équipe de la FAVD !

LE PROJET PHARE QUI TE REND SUPER FIER ?

L'importance des droits culturels au sein du LUCAS.

COMMENT VOIS-TU L'AVENIR DE TON MÉTIER & DE TON SECTEUR ?

Ah, la question ! Je pense qu'on est sur un axe juste, qui recoupe un certain nombre de secteurs en ce moment : celui de la coopération, co-construction, faire et vivre ensemble. Il y a beaucoup de choses à faire aujourd'hui, et dans les années à venir.
Ensuite, à partir du moment où l'on travaille en réseaux d'acteurs, il y aura toujours besoin d'un-e coordinatrice-eur ;)

POURQUOI T'ES TU INSTALLÉ À LA HALLE TROPISME ?

Car c'est ici qu'est implanté le bureau de la FAVD. Et c'est très chouette. 

ET POURQUOI À MONTPELLIER ?

A l'origine, plutôt pour des raisons personnelles car le sud, ce n'était pas forcément ma tasse de thé. Et pourtant, on se laisse vite adopter !